Saint-Denis, bout du monde

« Depuis trois jours, je vois des vieux Arabes partout. Des vieux seulement, partout. Avec leurs corps tordus et leurs yeux vides. Avec leurs mines grises et leurs pieds qui traînent. Leurs vêtements d’hiver toute l’année. Ils ont envahi la ville, lentement, … Lire la suite

Les demeures sans nom

« Au centre des récits de Spôjmaï Zariâb, il y a les femmes, dressées contre la violence qui leur est faite. Une description saisissante de l’atmosphère haineuse et brutale qui règne à présent dans une société colonisée par les talibans. […] … Lire la suite

Un monde de fous !

« Lire Philippe Claudel ne laisse jamais indemne. L’écriture vous attrape, vous accroche, une atmosphère s’installe, d’abord familière, enfin c’est ce que vous croyez, puis elle vous plonge dans un bain d’inconfort. Une étrangeté vous saisit. Les mots se retournent, se … Lire la suite

Crimes, amour et châtiment

Avec cette anthologie, nous plongeons dans l’histoire de la vie au Viêt-nam depuis un demi-siècle. À travers ces textes défilent le monde traditionnel, la colonisation, les guerres, le communisme, la nouvelle société de consommation… Nguyên Huy Thiêp a, au fil … Lire la suite

L’année du jardinier

Qui mieux que le poète peut nous faire sentir les fleurs, humer la terre et respirer la beauté d’un jardin ? 

Le poète de Safi

Safi, petite ville côtière du Maroc. N’ayant pas trouvé d’éditeur dans son pays ni ailleurs, un jeune écrivain décide de déclamer sa poésie à travers les haut-parleurs d’un minaret. Il appelle ses concitoyens à s’extirper de leur sommeil séculaire et … Lire la suite

Le pianiste afghan

Chabname est une petite fille comme les autres… à Kaboul, Afghanistan. Invasion soviétique, riposte des talibans. 1991 : Chabname fuit le pays avec sa mère et sa sœur. Direction la France, le pays des droits de l’homme. Passage des frontières, arrivée … Lire la suite

Le loup, l’épée et les étoiles

« C’est chaque fois un bonheur de lire Lola Lafon. Ses bonheurs d’écriture deviennent des bonheurs de lecture, mais prenons garde à la douceur de la langue qui parfois se coupe jusqu’au sang. […] Qu’elle traite du mépris masculin tournant à … Lire la suite

Le ventre des hommes

« A’Samar. J’aime la nuit. D’ailleurs c’est la nuit que je suis née. C’était un samedi. On s’en souvient tous. Le problème avec la Nuit. C’est que la Nuit y a personne pour emmener maman à l’hôpital. Parce que papa est à la mine, au … Lire la suite