La mer d’innocence

Pour sa troisième enquête, nous retrouvons Simran Singh à Goa, ancien paradis hippie et nouvelle destination à la mode pour les jeunes du monde entier. Une jeune touriste anglaise y…

La mer d’innocence

La mer d'innocence

…meurtres, mafia… Kishwar Desai s’attache une nouvelle fois à dénoncer la violence et la corruption qui sévissent en Inde, et sa maîtrise du suspense ne fait que se confirmer !

La mer et le martin-pêcheur

La mer et le martin-pêcheur

Un martin-pêcheur venu d’on ne sait où s’approche du navire, comme pour se mesurer à la mer. Sur la mer immense, pas un vol d’oiseau à part le sien.

La mer d’innocence

Goa, ancien paradis hippie, est une destination à la mode pour les jeunes du monde entier. Sauf qu’une touriste britannique y est agressée sexuellement par des Indiens, puis portée disparue.

Au commencement était la mer

Au commencement était la mer

Au commencement était la mer… Les criques violentes et sauvages. Des refuges où les mènent leurs échappées. Ils s’y promènent sans crainte. Ils ont oublié, ils oublient – dangereux

Nous étions le sel de la mer

…malheurs anciens que la mer a enfin relâchés. L’inspecteur Moralès, lui, vient tout juste d’être muté là. Il arrive de Montréal et se trouve subitement impliqué dans cette affaire aussi…

Nous étions le sel de la mer

…de malheurs anciens que la mer a enfin relâchés. L’inspecteur Moralès, lui, vient tout juste d’être muté là. Il arrive de Montréal et se trouve subitement impliqué dans cette affaire…

Au commencement était la mer

Nadia, l’héroïne, jeune, belle, frémissante devant les promesses de la vie et rebelle déjà au destin qu’on lui impose. Salim et ses 15 ans, la petite sœur Fériel, et

Immense comme la mer

Immense comme la mer

« Trois fois couler, sept fois refaire surface, neuf fois ballottés par les flots. »

Le fil conducteur de ces nouvelles est le fleuve – personnage central dont

Le désert ou la mer

Le désert ou la mer

De jeunes gens miséreux dans les rues de Niamey. Des cadavres de migrants africains échoués sur les plages d’une Oran devenue tombeau des désespérés. Ahmed Tiab s’interroge :